mercredi 11 janvier 2017

A savoir...suite et fin.



 Tout ce que l'on ne vous a pas encore raconté...

*  Nous avions embarqué trois passagers clandestins  pour notre voyage: rhume, gastro et grippe !
tout le monde a été malade ou presque! certains ont été très courageux de continuer malgré tout!

*Le "futbol": une passion nationale!
dans tous les bars et restaurants, la télévision diffuse des matchs entre équipes portugaises mais aussi étrangères.
Il est vrai que le Portugal a donné des personnalités au football: Eusebio, Cristiano Ronaldo, Jose Mourinho...

*Les péages d'autoroute:
Il faut prendre une carte à un guichet qui se trouve sur une voie secondaire le long de la voie principale.Il faut le savoir!
Francis ne le savait pas. A un contrôle il lui a été réclamé la totalité du parcours: 65 euros. Après maintes négociations, il a refusé de payer. Les contrôleurs ont pris note de son immatriculation. il  nous racontera bientôt la suite!!

*Le parking le plus ordonné: celui de Lisbonne où notre équipe de "négociateurs" avait  " négocié" quatre  nuits alors que nous  n'y restions que trois ! résultat  des véhicules avaient été garés devant nos voitures et au moment du départ, grand chambardement!





*Le hit parade des restaurants:
**  Le soir du réveillon à Lisbonne pour certains d'entre nous, illustration d'une réplique favorite de Francis:"se prendre une cartouche"
85 euros la bouteille de vin, 70 euros le plat de poisson ou de viande. Sans parler du prix  de la petite bouteille d'eau !
une adresse à fuir: le Rio Ceira, rue des Correiros. Vous êtes prévenus.







** Le moins cher: 5 euros par personne : entrée, plat, dessert, vin et café!!! oui, oui!
on vous recommande ce resto très kitsch . c'est le Porto Antigo, rue de Cimo de Vila à Porto.
** Le meilleur rapport qualité prix: le Rey de Oreilhao  à Limas de Oreilhao. Un pot au feu au chorizo, pied de porc , pois chiches et bien d'autres délicieux ingrédients, très copieux et gouteux!
** Le plus mauvais rapport qualité prix: un resto de la rue sainte Catherine de Porto dont on a vite oublié le nom qui nous a servi  "La" spécialité de Porto ( parait-il! ) :la Francesinha. Une sorte de hamburger au pain de mie coupé très épais , entre les deux tranches  du bacon, du bœuf, du chorizo,  et peut être d'autres choses non identifiées, et  enrobant le tout  des tranches de fromage qui dessinent une sorte de cube trempant dans une sauce orange piquante! on n'a pas pris de dessert!

*Le hit parade des hôtels:
**Le plus froid: l'hôtel Joao I° à Miranda
**Le plus accueillant: le même . La patronne nous a offert  une bouteille de "caramel" lors de notre premier passage et des gâteaux faits maison , à la figue, lors du deuxième.
**la patronne la plus exubérante qui  nous a aussi offert du Porto maison: celle de l’hôtel  Residencial à Porto

et puis pour les aficionados: les arènes de Vila Franca de Xira devant lesquelles nous sommes passés, en bordure du Tage. Dans la région, on trouve des élevages de taureaux et de chevaux et Vila Franca de Xira organise deux fois par an de grandes fêtes avec  lâchers de taureaux dans les rues, danses folkloriques, courses de bateaux sur le Tage, et dégustation de sardines!

lundi 9 janvier 2017

Vendredi: de Miranda à Dax.









 Démarrage poussif de Miranda le vendredi matin

















Une fois de plus météo brouillardeuse



















 Arrêt changement batterie





















Et pique nique sur une aire de station service.
















  Là sous les couvertures, Marc qui a la grippe


















Dans la station service ou nous nous réchauffons devant un café, Nadine admirative de la crèche















 Provision de vitamine C pour combattre la grippe.

























Montagne de betteraves le long de la route.














 Patchwork de terres labourées ou semées.




















 Un des nombreux tunnels du pays basque espagnol
















  Ça sent l'écurie!



















Nouvelle alerte : plus d'huile dans la coccinelle.
















 Malgré la grippe Marc dorlote la traction.

























 Dernier arrêt avant la séparation.





















  Jean Michel et Jean François partent devant avant la nuit.
Il faut rappeler que la Coccinelle doit éviter d'allumer ses phares.















 Bonjour la France!


















samedi 7 janvier 2017

jeudi 5 janvier 2017

De Porto à Miranda.


300 km entre Porto et Miranda.

 





 Nous préparons les voitures dans le brouillard.








Etape technique à 1000m d'altitude.





Nicole et Jean Michel restent au chaud dans la P60






Yveline et Marc ont mis les lunettes de soleil pour se croire sous les tropiques.



















 Nouvelle poussette pour la Coccinelle récalcitrante.






















 De la vigne, des oliviers...





















 et enfin du soleil.















Nouvel échange de batterie entre la P60 ...










et la Coccinelle.





"Mais où est donc passé ce c... de fil?"







Pas de jalouse on pousse aussi la Simca.





Déjà une habitude pour la Coccinelle .



Arrêt buffet au restaurant Rey de Oreilhao...





















de Lamas de Oreilhao.


Sa Majesté Marc 1er du Portugal sur son trône à l'entrée du restaurant.







Spécialité du restaurant, le pot au feu aux pois chiches, chorizo et pieds de porc.






On soigne les malades. 












La patronne du Rey en bonne compagnie.
















La caravane en bonne santé...











traverse de beaux paysages...










des villages qui ont gardé leur crèche de noël.











 Là, c'est du sérieux.  Les mécaniciens se penchent sur la malade













  Soit la Coccinelle a coulé une bielle , soit le moteur a avalé un boulon.. Malgré tout, nous arrivons  à l’hôtel de Miranda à la tombée de la nuit.


























































Mercredi , deuxième journée à Porto.


Il manquait la deuxième journée à Porto, la voilà.
Prochainement, la fin du voyage de Miranda à Dax et quelques anecdotes





 La fine équipe, sage comme une image en attendant le métro qui l' emmène au centre ville.








 Des normes de plus en plus rares chez nous.







Le port de commerce de Porto.


 Filet de pêche géant à Matosinhos.

Pales d'éoliennes en attente d'embarquement sur un cargo.



A défaut d'acheter du poisson, Daniel négocie une paire de chaussures.


 Le marché aux légumes de Matosinhos.

Le marché aux poissons.


 Apparemment  pas de grippe aviaire au Portugal.


Grillades de poissons au  port de pêche de Matosinhos




Au restaurant, lecture très attentive de Francis sous l’œil pétillant de Jacques.



 Santé à tous!



L'Atlantique à l'embouchure du Douro.


Pauvre voyageur portugais (flèche noire) coincé entre Francis et Daniel en pleine très bruyante et très longue discussion.


Un rayon de soleil suffit aux cormorans pour faire sécher leurs ailes.


 Classique sur les photos de groupe, il en manque toujours un. Devinez qui?
 Devant les caves de Porto, les anciennes embarcations qui servaient à transporter les barriques (aujourd'hui remplacées par des camions).



En attendant l'heure de la visite des caves de Calem...



 chacun occupe son temps à sa manière.

























 54000 litres de Porto dans ce foudre, de quoi faire rêver les amateurs.







 Chacun savoure deux verres de porto "offerts" par la maison Calem.



Une fois à l’hôtel, la dégustation se poursuit avec du porto 
 de la propriétaire.  





 


 La Francesinha, une sorte de hamburger dont Porto est spécialiste...On n'en a pas repris deux fois!








Fin de journée à admirer le superbe pont "Louis 1er"